Inscrire l’avortement dans la Constitution offre aux antichoix une nouvelle «cible à abattre»
«Ça ajoute quelque chose de concret», reconnaît le président de Campagne Québec-Vie.
3 decembre 2025
Marie-Michèle Sioui
En voulant ajouter la liberté d’avortement dans la Constitution du Québec, le gouvernement Legault offre une nouvelle « cible à abattre » à l’association antichoix Campagne Québec-Vie, affirme son président, Georges Buscemi.
« La seule chose, c’est que ça ajoute quelque chose de concret, un genre de cible à abattre, oui », a-t-il lancé dans une entrevue avec Le Devoir. M. Buscemi, qui compare les avortements à « des meurtres », affirme qu’un tel ajout dans la loi « serait un autre point de ralliement, certainement ».